pretez votre soutien aux travailleurs de Similor Kugler

Merci de laisser vos messages et propositions à l’adresse non.a.laufen@gmail.com

et au blog ami http://sk-carouge.blogspot.com

Les travailleurs de Similor Kugler vous remercieront tous de votre soutien.

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Après 2 mois d’attente insupportable et d’espoir, la décision de fermeture du 3 mars 2008 a été confirmée mercredi 30 avril 2008, mais aux cadres uniquement !

Ce manque de respect et d’informations envers les employés nous en dit long sur quel genre de personnages nous avons à faire ... à l’aube du week-end prolongé du 1er mai !

Aucune argumentation sérieuse n’a été avancée et les premières propositions du plan social ont abouti à un débrayage du personnel le vendredi 23 mai.
Les employés de Similor Kugler, sont écoeurés par la fermeture de leur entreprise à Genève, qui devra déménager à Laufen.

C’est une mesure absurde qui ne tient pas compte de la responsabilité sociale de l’entreprise à l’égard de ses employés qui n’ont guère envie d’être délocalisés en Suisse Alémanique et qui ne répond de plus à aucune logique industrielle. De plus, en sachant que la construction n’a pas encore commencé, il y a fort à parier que l’intention est de faire de Laufen une vitrine, en profitant de la marque Similor Kugler, tout en délocalisant la production en Chine.

A cet égard, la direction se trompe ou ment en réalisant en fait une opération immobilière spéculative. Il faut d’ailleurs noter que la direction n’a pas hésité à résilier tous les baux à loyer de ses locataires sans tenir compte de la situation particulièrement grave du marché genevois de la location.

De plus, il est désormais interdit de se réunir avec la commission du personnel dans l’entreprise, et les travailleuses et les travailleurs doivent le faire sur les places publiques genevoises !

Merci de faire parvenir ce message à tous vos amis, relations ou famille en leur demandant d’en faire de même et

SURTOUT DE RENONCER A TOUT ACHAT DES MARQUES :

• SIMILOR KUGLER
• ARWA
• SANIMATIC
• ROCA
• LAUFEN

tout au moins jusqu’à ce que les syndicats puissent faire état de transactions à l’entreprise qui tiennent compte des droits du personnel et qui respectent tant les conventions collectives de travail que les « garde-fous » légaux ! En effet, cette entreprise a une taille qui l’oblige à respecter la loi sur la participation et l’astreint à discuter de son développement ou avenir avec les ouvriers et leurs représentant-e-s.

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