Diviser son camp en se résignant au statu quo

Je vous signale ici une mienne réplique à l’article du 3 septembre, paru dans le Courrier, commis sous étiquette syndicale par quatre socialistes autorisés, partisans du OUI le 14 octobre, et attaquant la CGAS sous couvert de ne pas comprendre son hostilité déclarée au projet qui y est soumis au peuple.

Cette réplique en forme de commentaire résume un plus long article, disponible en pdf, où je tente de cerner et condamner deux des méthodes utilisées pour disqualifier le rejet du projet constitutionnel, qui ont selon moi un impact important sur les électeurs soucieux de ne pas donner prise à l’accusation de ruiner les avancées contenues dans le projet :

• La division de la gauche préférée à la rupture d’un consensus allant jusqu’à l’extrême droite constituante.
• La résignation au statu quo législatif par le refus de prendre en compte des manques intolérables du projet à voter le 14 octobre.