Communauté genevoise d’action syndicale

Organisation faitière regroupant l’ensemble des syndicats de la République et canton de Genève

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droits syndicaux + BIT

action du mouvement syndical suisse, et plus particulièrement de l’Union syndicale suisse pour obtenir une consolidation et une extension des droits des salarié-e-s et de leurs organisations.

Articles de cette rubrique

Réactivation de la plainte de l’Union syndicale suisse contre le gouvernement et l’État suisses en violation des droits syndicaux à l’OIT – cas no 2265

le législateur n’a visiblement pas l’intention d’améliorer rapidement la protection contre le licenciement antisyndical et donc de mettre la législation suisse en conformité avec la convention n° 98 de l’OIT comme le lui demande le Conseil d’administration du BIT dans sa décision de novembre 2004

la Suisse n’a toujours pas ratifié la Convention (n° 158) sur le licenciement, 1982

Un travailleur ne devra pas être licencié sans qu’il existe un motif valable de licenciement lié à l’aptitude ou à la conduite du travailleur ou fondé sur les nécessités du fonctionnement de l’entreprise, de l’établissement ou du service.
http://www.ilo.org/dyn/normlex/fr/f?p=1000:12100:0::NO::P12100_ILO_CODE:C158
Cette convention a fait l’objet d’une réunion d’experts en 2011
http://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/---ed_norm/---normes/documents/meetingdocument/wcms_165187.pdf

RadioFr a licencié abusivement deux de ses collaborateurs

Mais il faut aussi rappeler que ce jugement peut faire l’objet d’un appel jusqu’au tribunal fédéral et que rien n’est joué.
Toutefois ce jugement est important parce que, pour une fois, le caractère abusif du licenciement de représentants du personnel est reconnu.
Mais il montre aussi 2 points sur lesquels nous buttons depuis de nombreuses années : La sacro sainte liberté totale de licencier de l’employeur est sauve : un patron peut continuer, en droit suisse et en toute quiétude, de (...)

le droit de grève : un principe fondamental

Dès sa deuxième réunion, en 1952, le Comité de la liberté syndicale reconnaît le droit de grève et en définit le principe fondamental, dont dérivent plus ou moins tous les autres : le droit de grève est un des moyens essentiels dont disposent les travailleurs et leurs organisations, un moyen légitime, pour promouvoir et défendre leurs intérêts économiques et sociaux (Recueil, paragr. 473- 475). Regardant la grève comme un droit et non pas simplement comme un fait social, le comité précisera au fil des ans (...)

Syndicaliste condamné sur plainte de Barbey SA pour diffamation

L’homme avait dit aux médias que l’entreprise traitait ses employés en esclaves, les menaçait et pratiquait le congé-représailles. Recours annoncé.

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